mercredi 9 décembre 2009

Une preuve accablante de corruption.



De quoi faire sauter mille fois la République.


Avant la sortie du livre imprimé : La Dictature à la Française, je relève d’ores et déjà des réactions révélatrices de ceux qui ont eu la primeur de le lire au format numérique.


L’état d’ignorance du corps social est tel que l’essentiel du contenu de ce livre, que j’ai pourtant voulu le plus accessible qu’il soit possible en rapport de l’importance et de la complexité du sujet, reste pratiquement ignoré. Les commentaires, dans l’immense majorité des cas extrêmement favorables et soulevant quelques indignations, ne se font que sur ce que je qualifierais : de l’écume des jours.

Pourtant, il y a dans ce livre de quoi faire sauter plus de mille fois la République ou ce qu’elle est tristement devenue.

Prenons un petit exemple dans l’actualité récente - qui aurait dû faire bondir de révolte et d’indignation, toutes les consciences politiques ayant un minimum de sens moral, ce qui n’a pas été le cas -, je veux parler de la demande d’une commission d’enquête faite par les élus de la Nation (le peuple souverain) concernant l’utilisation d’une partie de la contribution publique par l’administration élyséenne pour payer des sondages pour une somme conséquente.

Le Président de l’Assemblée nationale, aux ordres de l’exécutif, a déclaré que cette commission n’était pas possible, car elle ne correspondait pas aux règlements de l’Assemblée...

Cette violation caractérisée des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789, et donc de la Constitution, n’a pas été relevée par beaucoup d’élus de la Nation, et encore moins par les journalistes politiques et les pseudo élites intellectuelles de ce pays.

Pourtant, il est simplement aisé de constater que les articles 14 et 15, de la DDHC stipulent clairement :

Article 14 - Les citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d'en suivre l'emploi, et d'en déterminer la quotité, l'assiette, le recouvrement et la durée.

Article 15 - La société a le droit de demander compte à tout agent public de son administration.

Il découle de ces deux articles que :

1°) Tous citoyens, et à fortiori les représentants de la souveraineté nationale, sont légitimement fondés dans leur demande de compte à l’administration élyséenne.

2°) Qu’il n’est nullement nécessaire d’avoir une quelconque autorisation préalable de qui que ce soit, ce droit de contrôle étant par définition claire et précise : naturel, inaliénable, sacré et imprescriptible, aucune loi, aucun règlement ne peut en limiter la pratique et l’usage.

Le Président de l’Assemblée nationale et le palais de l’Élysée en s’opposant délibérément à l’application de la Constitution commettent une FORFAITURE, passible des tribunaux.

Mais les capacités d’indignation et de révolte sont si anesthésiées par l’état chronique de corruption, que ce qui serait passé aux yeux des Consciences ayant encore un sens moral comme une épouvantable injustice, est devenu une péripétie coutumière ordinaire.

Lorsque je dis que mon livre : La Dictature à la Française, contient de quoi faire sauter mille fois la République, ce n’est pas affirmation péremptoire grandiloquente, mais le simple constat d’une réalité amplement démontrée.

La jeunesse, qui se désespère légitimement des épouvantables conditions que les gouvernements corrompus leur imposent pour une intégration sociale, devrait, plutôt que de se soumettre à ces conditions, les rejeter. D'une part, le jeu auquel on les invite à participer est d’avance totalement truqué, la dette colossale que ces gouvernements ont mise à leur charge, ne leur permettra pas de s’en sortir. Et d’autre part, pour participer efficacement à ce jeu d’intégration sociale il faut accepter de devenir aussi corrompu que les maîtres de ce jeu.

La jeunesse n’a rigoureusement rien à gagner ni à espérer de ces conditions déloyales que l’on tente de leur imposer. Elle aurait plus d’intérêt et d’avenir à s’emparer du contenu de ce livre pour s’opposer, dans le cadre parfaitement légitime du droit à la Résistance à l’Oppression, à toutes les lois scélérates qu’une technostructure en totale décomposition voudrait leur vendre comme principe d’une identité nationale de pacotille, alors qu’elle (la technostructure) se sait condamnée à périr sous le propre poids de ses corruptions, comme cela a été le cas le l’Union Soviétique.

Lorsque la propagande engage la jeunesse de ce pays dans un processus de collaboration, elle ne fait que tenter d’essayer de survivre coute que coute. Elle le fera sans vergogne, sachant que ce sera au détriment des générations montantes qu’elle asservira par l’accablant héritage de monstruosités et d’imbécilités totalitaires qu’elle leur lèguera.




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mardi 8 décembre 2009

La supercherie politique



La grande différence qu'il y a entre la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789, et la CHARTE DES DROITS FONDAMENTAUX DE L'UNION EUROPÉENNE.

La première déclare des droits naturels, inaliénables, sacrés et IMPRESCRIPTIBLES, alors que la deuxième soumet son application aux aléas opportunistes des lois, l'humeur des États et l'interprétation vaseuse des sophistes de la langue de bois politique.

La première est simple claire accessible, alors que la deuxième devient rapidement complexe, abstruse, alambiquée, contradictoire et donc inapplicable.


Pour un européen, cette charte devient vite du Chinois !

Petite démonstration, cliquez sur le titre ci-après ;





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